Annis n'arrive !

Annis qui étais rentrée dans le train la premiére, fut décut de ne voir personne d'autre qu'elle dans le train, surtout à cette l'heure.
Elle s'assit dans le compartiment le plus proche de la sortie, pour pouvoir sortir le plus vite possible du train et d'entrer à l'air frais d'Ollerton qui lui manquait tant depuis son depart précipité pour une raison ... inconnue.
Elle s'installa confortablement dans le siége et réfléchis à tous ses camarades en se demandant si tous reviendrait. Elle se souvint des nombreux bons moment qu'elle avait passé à l'academie et elle sût qu'elle ne serait surement pas la seule a revenir à Ollerton, qu'elle qualifiait de seconde maison.
Elle sortit son carnet intime de sa lourde valise et elle nota quelques phrases en souriant. Puis elle le rengea et elle laissa vaguabonder son ésprit.
Elle se reveilla en sursaut quand le train s'arrêta. Elle s'était assoupie pendant 2 heures 40 et il fallait qu'elle sorte.
Elle regarda par la fenêtre couverte de buée et decida qu'elle devait sortir pour voir hors du train.
Elle pris sa valise, courrut jusqu'a la porta, la poussa en un coup de pied et sauta dans la gare.
Elle n'avait pas changée, Toujours pleine de clartée et de "joie".
Les larmes brouilléres la vue d'Annis.
Elle courrut hors de la gare et elle sauta dans l'herbe, lachant sa valise au vol. Elle pleurait pour de bon.

Mélanie avait grandi, et changé depuis la dernière fois qu'elle était allée à Ollerton. L'académie, elle l'avait un peu oublié, mais gardait toujours l'espoir qu'elle réouvre. Et, apparemment, d'après la lettre qu'elle avait reçu, c'était le cas.
Sur le moment, Mélanie n'en avait pas cru un mot. Qui avait envoyé cette lettre ? Pourtant, chaque jour, elle y croyait un peu plus, et finalement, avait décidé qu'elle prendrait le train, dont l'horaire et le jour étaient indiqués sur la lettre.
Deux jours avant de partir, ses valises étaient prêtes, et ses ongles rongés de stress. Elle ne savait même pas pourquoi elle stressait comme ça, au contraire, elle aurait du être plus joyeuse que jamais, mais la peur qui lui tordait le ventre l'en empêchait.
Lorsqu'elle monta dans le train, des larmes perlèrent aux coins de ses yeux, qu'elle esssuya d'un geste rageur. Elle n'avait aucune raison d'être émue, elle allait juste retourner étudier dans son ancienne école, et peut-être, retrouver de vieilles connaissances.
Elle pensait toujours à ça, lorsqu'elle s'assit dans un compartiment. En fait, elle n'avait pas vraiment de vieiles connaissances... Elle avait eu quelques amis, mais jamais une vraie relation d'amitié. Elle ne se rapelait même pas du nom d'autres élèves...
Pendant tout le trajet, elle se creusa la mémoire, mais rien ne revint. Lorsque le train stoppa, elle se dressa, et prit sa valise, pour arriver le plus vite possible à la sortie. Le train était quasiment désert.
Sur le quai, il n'y avait pas grand monde, et d'un coup, elle se retrouva seule. Au loin, elle aperçut le chateau, et s'arrêta net.
Quelques minutes plus tard, elle reprit ses esprits, et marcha droit devant elle. Elle ne cessa de marcher que lorsqu'elle vit la silhouette d'une jeune fille, assise par terre, qui pleurait. Surement d'émotion, et psa de tristesse. Elle la regarda pensant quelques minutes. Son visage lui rappelait quelque chose, mais pas de nom... Un bracelet. Cette fille lui avait donné un bracelet, avec un chat dessus. Le souvenir lui tomba dessus sans prévenir, et elle revint à la réalité aussi brutalement, pour finir par se baisser et proposer à la jeune fille

"Si nous y allions ensemble ?"

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